
1/ Bonjour Catch Thinking, qui êtes-vous ?
Nous sommes un duo d’entrepreneurs, Catherine & Audrey, qui ont eu la chance de poser leurs valises un peu partout tout au long de leur carrière: tech, food, mode, beauté, lifestyle, maison… et qui ont décidé de créer ensemble une plateforme de ressources pour aider les projets à entrer en action, et les curieux à ouvrir leur horizon, à accélérer leur développement professionnel.
Nous proposons nos découvertes, notre vision des tendances, pour ouvrir la réflexion et nos tips, nos raccourcis, nos best practices, pour passer à l’action.
Concrètement, nous fonctionnons sur deux angles:
· Grow your Business Mind : pour développer ses idées en one to one. On entre par l’Instagram où on découvre une foule de nouvelles idées, de points de vue, puis on peut intégrer notre Slack où nous proposons des semaines thématiques d’Exploraction avec des fiches concrètes pour amorcer la mise en action, réfléchir ensemble, et enfin nous proposons des sessions d’accélérations (ateliers courts sur des problématiques précises) et du coaching en one to one pour aller encore plus vite dans la mise en action de ses projets.
· Fast Track Your company : pour accélérer en équipe, nous apportons notre digital mindset à des équipes qui ont besoin de débroussailler un sujet (acquisition via les réseaux sociaux, internationalisation…), nous les aidons en quelques sessions rapides à y voir plus clair, à mieux poser leur stratégie, leurs KPI, le focus des équipes. Nous leur donnons les clés adaptées à la réalité de chaque équipe pour avancer plus vite, plus efficacement dans la croissance digitale de leur business.

2/ Votre mission c’est du conseil ? Du coaching ?
Notre rôle est d’encourager les porteurs de projet et les équipes digitales à donner le meilleur d’elles-mêmes. Les aider à s’organiser, à mieux définir leurs priorités, leurs actions, leurs objectifs, leur montrer les raccourcis qui leurs permettront d’aller plus vite plus loin. C’est un rôle entre le coaching et le consulting classiques, nous ne “faisons” rien pour nos clients, nous avançons en co-création pour qu’ils reprennent le pouvoir sur leur activité et qu’on trouve ensemble le meilleur accélérateur pour les amener là où ils rêvent d’aller. Nous sommes dans la mise en action tout en apportant cet éclairage et ce pas de côté, qui enrichit et booste la réflexion.
3/ Quels sont vos enjeux ?
Notre projet est tout jeune, nous sommes encore dans une forme de validation du business model. Nous savons où nous voulons aller, nous voyons les signaux positifs qui nous rassurent sur ce chemin, mais nous avons encore beaucoup de choses à construire ! C’est très excitant comme moment ! Nous savons que nous sommes sur la bonne voie, une voie qui nous plaît et où nous nous savons utiles et efficaces, il ne reste plus qu’à foncer !
4/ Qu’est-ce qui nourrit votre projet ? Comment innovez-vous ?
Pour nous, la clé est de toujours interroger le status quo, de réinterroger en permanence nos réflexes. Nous sommes à l’affût des nouvelles idées qui se développent partout dans le monde, à l'affût des nouveaux business models, des nouvelles marques inspirantes. On en récolte des idées pour nous, bien sûr, mais surtout pour nos clients. Pas des idées nébuleuses de prospective, mais des idées concrètes et actionnables.
Il est fondamental pour nous de ne pas accepter les limites, les “on ne peut pas” “c’est pas possible” “les autres font tous comme ça c’est pas par hasard”, mais d’interroger, de questionner pour comprendre quelle est la bonne réponse à chaque problématique. De faire sauter les verrous.
5/ Quelles startups ou projets innovants vous inspirent aujourd'hui ?
Beaucoup de choses nous inspirent ! Beaucoup de projets sont nés pendant le confinement et ce bouillonnement nous passionne. On regarde beaucoup aussi aux Etats-Unis, en Asie, pour détecter les tendances sur tous les marchés.
En ce moment, on suit particulièrement les boîtes qui sont passées du Story Telling au Story Acting, et font acte de leurs promesses.
Le digital et les réseaux sociaux, ont rendu nécessaire une humanisation des marques, c’est un pas difficile, qui n’est pas naturel pour tous, mais qui est essentiel à un moment où le client est très volatile. Les consommateurs sont en train de prendre conscience que leurs achats font le monde de demain. On a largement dépassé le concept du “conso-acteurs” qui avait un certain pouvoir d’influer les décisions au sein d’une marque. Aujourd’hui, il s’agit d’influer sur tout un éco-système.
En terme de startups, on sent une évolution de la tendance des DNVB vers l’air du Digital Personnal Brand, grâce à l’expansion du social selling. On suit beaucoup les marques lancées par des influenceurs de tous bords : Jeanne Damas avec Rouje dans la Mode, The Socialite Family qui est passé d’un blog à un e-commerce de déco design, Nabilla est sa marque de cosmétique, la multitude de eBooks qui sont sortis de comptes Insta et s’arrachent comme des petits pains… L’influenceur malin ne dépend plus des collaborations, mais s’entoure et diversifie ses revenus en créant une marque à son image. Ainsi que les services proposés par des personnalités qui ont acquis une audience et une légitimé sur les réseaux sociaux, et pour qui “vendre” devient du coup tout naturel sur ces réseaux. Comme par exemple Emilie Albertini dont l’offre “The Dressing Therapy” cartonne auprès d’une communauté toute prête à devenir cliente.
5/ Quels sont les medias ou personnages leaders/influents que vous suivez ?
On suit beaucoup, de monde :) on est des boulimiques de réseaux ! Ça va d’Emilie Weiss à Michel-Edouard Leclerc en passant par Mimi Thorisson, Noholita, les Muesli Boys et Maria Sharapova ! On adore le mélange des genres ! On apprend beaucoup de ces diversités de secteur et de personnalités.
6/ Vos meilleurs outils 2.0 ?
Alors on utilise toujours des cahiers et des crayons :) avec beaucoup de jolies couleurs, parcequ’on est toutes les deux très visuelles!
Sinon on ne se sépare pas d’Instagram, de Slack, de Whatsapp, Zoom, Canva , Typeform et de notre Google Drive adoré.
Rien de très original à part peut être les horaires auxquels on les utilise :) On est très flexible sur notre vision du travail, on peut échanger à 7h30 et/ou à 23h30 et faire une pause à 15h pour une séance de yoga ou de sophrologie.
On fonctionne comme des éponges en observant tout ce qui se passe autour de nous, en lisant beaucoup, et dans ces manières de faire, le boulot ne s’arrête jamais vraiment, d’ailleurs on en a pas envie!
- Catherine Jolivet-Buffet & Audrey Pallot
Retrouvez Catch Thinking sur Instagram: https://www.instagram.com/catchthinking/?hl=fr
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